Day 21 : Imari and Okayachimaya

The day was again superb : big sun, 20 degrees and sunburn. I left in the countryside (1h30 of limited express train + 25 mn of very slow train + 15 mn of bus) in Imari. It's the second village known in the region for its ceramics. When I arrived, I went for a walk in this small town. There's not much to see, except some ceramic statues and clouds of little old walkers (I like the old walker, they always say hello).

 

La journée a encore été superbe : grand soleil, 20 degrés et des coups de soleil. Je suis parti dans la campagne (1h30 de train limited express + 25 mn de train très lent + 15 mn de bus) à Imari. C'est la deuxième bourgade connue dans la région pour ses céramiques. A mon arrivée, j'ai fais un tour dans cette petite ville. Il n'y a pas grand chose à voir, hormis quelques statues en céramique et des nuées de petites vieilles en déambulateurs (j'aime bien les vieilles en déambulateur, elles disent toujours bonjour).

By cons, I walked in the village of Okayachimaya 10 minutes bus ride. Originally, the Japanese made between 800 and 900 AD nearly 200 families of Korean potters to learn their savory-make and exploit them. They were never able to return to their country, they were held against their will. To commemorate their "sacrifice", the Japanese have dedicated to them, several monuments in the village, including one that is under a beautiful maple (it was the least of things to do).

Today, the village brings together the 30 known potters of Imari. They produce and sell on the spot. As it's not the tourist season for ceramics, I was able to walk freely throughout the village, visit the shops and talk a little with the owners. Simple and affordable ceramics can be found as beautiful things. I saw ceramics at 5,000 euros among the most expensive. I did not take pictures, so as not to interfere. I think that everyone can find his account, the diversity of creations is important. I left part of my wallet. I hope to come back someday.

 

Par contre, je me suis promené dans le village d'Okayachimaya à 10 mn de bus. A l'origine, les japonais ont fait entre 800 et 900 après JC près de 200 familles de potiers coréens pour apprendre leur savoir-faire et les exploiter. Ces derniers n'ont jamais pu revenir dans leur pays, ils ont été retenus contre leur gré. Pour commémorer leur "sacrifice", les japonais leur ont dédié, plusieurs monuments dans le village, dont un qui se trouve sous un bel érable (c'était la moindre des choses à faire).

Aujourd'hui, le village rassemble les 30 potiers connus d'Imari. Ils produisent et vendent sur place. Comme ce n'est pas la saison touristique pour les céramiques, j'ai pu me promener librement dans tout le village, visiter les magasins et parler un peu avec les propriétaires. On trouve des céramiques simples et abordables comme de très belles choses. J'ai vu des céramiques à 5 000 euros parmi les plus chères. Je n'ai pas pris de photos, pour ne pas gêner. Je pense que tout le monde peut y trouver son compte, la diversité des créations est importante. J'y ai laissé une partie de mon portefeuille. J'espère pouvoir y revenir un jour.

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